• Australie

     

     JAKARTA – 2 J

     

    Nous voila arrive en Indonesie, sur l’ile de Java, a Jakakarta, la capitale.

     

    On decide finalement d’attendre Marie et Sylvain a l’aeroport plutot que d’essayer d’aller dans le centre ville puis de revenir et de risquer de les louper pour leur faire une surprise. On va attendre 6h... mais la surprise est reussie !

     

    On est tout excite, ca fait 8 mois qu’on ne s’est pas revu.

     

     

     

    A l’arrivee, on sent deja la pression, « taksi ? taksi ?... », oh non on avait oublie ca... depuis l’Inde. On se jette dans le bain, c’est parti pour les embouteillages jusqu’au centre ville a bord d’un faux taksi. On s’installe dans le quartier routard de Jalan Jaksa.

     

    On ne peut pas dire que la proprete soit le mot d’ordre de notre guest house mais qu’importe, on a de quoi faire l’apero. Les loustiques nous ont emmene entre autres, du champagne et du saucisson.

     

    Ensuite on va deambuler dans le quartier afin de trouver un endroit pour manger. Les gargottes sur les trottoirs n’inspire pas confiance a nos amis... il faut dire que les gens font la vaisselle par terre, pas de frigo... et c’est vrai que nous perso, on est habitue. Mais il est tard, 21h, c’est tard pour les locaux et c’est dimanche, on finit par manger dans un warung (sorte de gargotte de rue mais attention, souvent entoure d’une bache avec les animaux qu’on peut manger dessines dessus), ils se disent que ce sera un bon test en debut de sejour pour apprehender la suite... La popotte nous rappelle etrangement l’Inde. Oh non, please...

     

    Le principal c’est que personne ne sera malade le lendemain !

     

     

     

    On n’est pas malade mais tout le monde a passe une mauvaise nuit, la faute a l’appel a la priere a 4h30, la mosquee se situant a 50m, en rajoutant des locaux faisant du bruits devant nos chambres. On se jure de faire attention la prochaine fois et de trouver un logement loin de ces lieux de priere !

     

     

     

    Au matin, c’est en compagnie de Marie que je pars reserver les billets de train pour Yogyakarta a la station de train Gambir.

     

    Pendant ce temps, Sylvain et Bichon resteront dans les alentours de notre guesthouse pour boire un cafe infecte et nous attendre.

     

     

     

    C’est en taxi que nous partirons visiter le vieux port, qui est en fait le port de commerce avec ses vieux bateaux de transport de marchandise qu’ils chargent et dechargent a l’aide de grues aussi vieilles et tremblantes que leurs bateaux.

     

    Nous continuons a pied voir ce qu’il se trame du cote de la place Batavia avec son cafe repute du meme nom, datant de l’epoque coloniale. C ‘est drole de voir cette place digne d’une place indienne et ce cafe si clean et classe...

     

    Nous attraperons un auto-rickshaw (et oui encore un point commun avec l’Inde) pour rentrer a la guest house a travers une circulation plus que dense et des deux roues de partout, trottoir, a gauche, a droite, devant, derriere, tout juste si il n’y en avait pas dessus et dessous...

     

     

     

    Le soir nous avons mange dans un espece de bel hangar tout en bambou pour touristes indonesiens, qui consiste a aligner des gargottes les unes a la suite des autres et toi, tu prends place au milieu sur les tables et chaises a disposition des clients, comme en Malaisie.

     

     

     

    Le lendemain nous prenons comme prevu notre train, en executive class (pas le choix) et non sans regret car Jakarat c’est bof bof !

     

     

     

     

     

    YOGYAKARTA – 2 J

     

     

     

    A l’arrivee a la gare de Yogyakarta, (Yogya pour les intimes), une fois n’est pas coutume (ironie bien sur) nous sommes harcele pour prendre un taksi, alors que le quartier des hotels : Sosro est proche, ou pour nous vendre un autre hotel.

     

    On se choisit le moins cher de toute la rue, on malmene un peu nos compagnons, mais c’est du haut standing si on compare avec certains hotels de l’Inde. Nos amis se font plaisir en prenant la chambre avec balcon, quel luxe ! Il nous faut au moins ca pour deguster la savoureuse bouteille de Muscat que maman Flo nous a fait passer ! Malheureusement en une soiree, elle y passe ;-(

     

     

     

    Le lendemain on a loue des velos avec Marie et Sylvain apres une nuit bercee par le chant des musulmans pendant que Flo s’est repose...

     

    On a commence par se faire le marche couvert de Beringharjo, pour garer son velo, il faut payer le parking ! Chose inconcevable pour Prout !

     

    Des vendeurs veulent nous suivrent dans les boutiques, ils sont penibles, du coup on n’y reste pas tres longtemps...

     

    On enfourche nos velos pour le Kraton : nom du palais du sultan de Yogya. Tout autour de celui-ci c’est le Kraton Area qui forme l’enceinte du village du palais royal.

     

    On cherche ensuite la Mosquee Souterraine / Masjid Bawahtanah, des que nous nous approchons du lieu des locaux nous indiquent etrangement le chemin. Bien sur en arrivant, il y en a un qui se propose de faire office de guide, gratuitement brother of course ! Mais nous doutons du lieu car il n’y a pas de veritable entree. On a encore peur de l’arnaque et on croit le semer a un moment mais il nous attend sagement a la sortie. Il nous amene au Castle Water ou Taman Sari en passant par sa maison, celle de son fils... mais manque de bol, il vient de fermer !! Peut-etre que s’il n’avait pas essaye de nous faire visiter les boutiques de ces copains (qu’on n’a pas voulu faire) on serait arrive a l’heure... m’enfin. Il se rattrape en passant devant la maison de sa mere car en grimpant sur le mur comme des voleurs on avait en fait une super vue en hauteur des 3 plus gros bassins et sans payer ! Pour une fois c’est nous qui les grattons ! hihihi

     

    A la fin, Prout veut lui donner de l’argent, ils nous dit qu’il ne veut pas, tout en tendant la main J 

     

    Sinon, le patron d’une agence de voyage nous avait conseille un marche aux oiseaux et aux reptiles... On l’aura cherche pdt une heure mais en vain, on abandonne et on se dirige vers le 2eme palais du sultan : Paku Alaman, tout en en evitant les grandes routes car notre petit Michel n’en peut plus des grandes routes a cause de la cirulation qui il faut l’avouer est incessante et dangereuse ! entre les becak (sorte de rikshaw), les andongs (caleche a 4 roures).

     

    Ce fameux « palais » on y rentre comme dans un moulin, pas de garde, pas de controleur ??? bizarre...

     

    Au retour en repassera vers la veritable entree du Castle Water... d’un marche aux oiseaux (pas le meme) ferme... ;-(

     

     

     

    Le velo n’etait certainement pas le moyen le plus facile pour visiter cette ville tres agreable. On y serait reste volontiers plus longtemps (en essayeant bien sur de faire abstraction des pseudo-vendeurs croques cerveaux) car il y a de beaux quartiers paisibles aux ruelles tres etroites entourees de petites maisons basses avec jardinets, souvent bien decorees avec beaucoup de charme.

     

     

     

     

     

    BOROBODUR – PRAMBANAN - 1J

     

     

     

    Parce qu’on n’a pas trop voulu se casser la tete et que nous etions obliges de passer par une agence pour voir le Sun Rise de Borobodur nous avons opte pour un package « Sun Rise Borobodur et Prambaman dans la meme journee.

     

    Nous sommes donc parti de la guesthouse a 3h du mat’, pour apres 1h de voiture, voir en fait le fameux Borobodur sous le brouillard et une pluie fine. On nous aurait dit qu’on etait sur les rempart s de St Malo, on n’aurait pas vu la difference. Non, j’exagere mais Flo a fait l’effort (nous aussi, mais c’etait plus dur pr lui) de monter 250 marches et on n’a pas vu le lever du soleil a cause du mauvais temps. Pas de chance encore une fois.

     

    On s’est console avec le petit dej inclus dans ce package (2fois plus cher a cause du Sun Rise). On s’est pris pour des « bourges » le temps d’un the et d’un petit gateau sucre saupoudre de fromage rape !

     

    Pour la peine, j’ai garde les 2 pareos qui nous etaient fournis pour la visite (malgre que nous etions en pantalon).

     

     

     

    Au fait Borobudur est classe au patrimoine mondial de l’UNESCO. C’est tout de meme le plus grand monument bouddhique du monde !!! Il fait 34,50m de hauteur et a ete construit avec 1 600 000 blocs de pierre volcanique pendant 75 ans, vers la fin du 8eme et milieu du 9eme siecle ap JC. Il a longtemps ete delaisse juste apres la fin de sa construction a cause des guerres, menaces d eruptions volcaniques, tremblements de terre... C’est seulement en 1955, grace a l’Unesco, qu’ils vont commencer a le renover pour finir en 1983. Mais malheureusement en 1985, des extremistes musulmans exploseront 9 stupas L 

     

     

     

    Ensuite nous avons repris la route vers Prambanan, ou notre chauffeur nous arretera vers un ancien edifice hindouiste et un temple bouddhiste qui n’etait pas prevu, ou la bien sur des vendeurs nous attendaient (pas encore reveille donc pas trop virulants)!

     

     

     

    Apres 2h de route (oblige de repasser a Yogya) nous voila a Prambanan. Site faisant egalement parti du patrimoine... UNESCO. C’est un groupe de temples hindouistes mais la plupart des temples sont encore en ruines (la reconstruction a ete ralentie par le tremblement de terre de 2006).

     

    Il pleut encore du coup on ne peut pas prendre le temps malheureusement de se balader dans ce beau parc.

     

    Chose etrange dans ce lieu hindousite, comme nous le fera constater Sylvain, il y a une musholla (lieu de priere – attention different d’une mosquee) pour bien nous rappeler que nous sommes dans un pays avant tout musulman !

     

    D’abord la religion musulmanne mais talonnee par la religion business car ils n’ont pas oublie de construire a la sortie du site (passage obligatoire), tout un circuit avec plein de magasins pour touristes. La encore on n’achetera rien...

     

     

     

    J’avais demande au gars de l’agence s’il etait possible de visiter une « usine » de batik afin de voir la fabrication des tissus avec des tampons car j’en avais marre de voir toujours les memes magasins et les memes techniques. Il m’avait dit « oui bien sur ca sera sur le chemin, je vais le dire au chauffeur ». Resultat on a atteri dans un enieme magasin « d’artiste » a 300 euros l’oeuvre sur un bout de cotton.

     

    On a presque failli avoir un package organise comme il nous avait ete vendu ! On y avait cru.

     

     

     

    J’ai calme ma frustration en allant dans les petits etalages de la Malioboro , acheter des petits ensembles pour les bebes Marseillais et Bretons, bien typique d’ici. Les prix allant pour un meme produit du simple ou double sans aucun complexe !

     

     

     

    Le soir on s’est rejoint pour aller manger dans une gargotte : une table, 2 bancs, un rechaud a gaz, un seau (pour la vaisselle), un meuble avec deux roues de velo, pour « stocker » et decouper les aliments dans la rue...

     

    On s’est regale. Je me dis qu’on exagere quand meme en France avec toutes ces regles sur l’hygiene !

     

     

     

     

     

    LE MONT BROMO – 2J

     

     

     

    Enfin, on a plus l’impression d avoir passe du temps dans les transports car il faut compter 1 journee pour y aller, car on ne se rend pas compte mais il faut pour traverser une grande partie de cette ile, 11h, ce qu’on nous dit, en fait c’est 13h. C’est pas faute de rouler a toute beurzingue, de klaxonner sans arret mais il faut penser aussi a se restaurer dans des endroits ou il y a une Mushola (lieu de priere, il y en a partout !))

     

    On arrive a la fameuse ville de Probolingo, halte oblige, on ne sait pas pourquoi il faut changer de chauffeur et de van (meme gabari). Mais c’est aussi un pretexte pour te vendre un « tour » organise ! Il est tard, on a peur de ne pas trouver de jeep qui voudra bien nous amener au Mont le lendemain tres tot, on dit oui avec la certitude qu’on pourra monter avec Flo en jeep au point de vue ! Alors c’est ok !

     

    Le chauffeur essaye de nous heberger dans la guesthouse ou les autres voyageurs vont (je vais faire ma fouine, et constate que les chambres sont degueulasses !!!!) mais nous avons en fait deja reserve dans une autre guesthouse recommande par le guide du routard alors le chauffeur veut bien nous y conduire (quelle chance...). Les gens de cette guesthouse nous attendent, bonne surprise, mais a l heure ou nous arrivons, il n’y a plus de restauration. Notre chauffeur passe un coup de fil et nous dit qu’il doit rester un endroit d’ouvert a cote. On y va, on est meme plutot bien accueillit. C est une petite bicoque ou des hommes sont rassembler pr parler et boire un coup, on nous propose un plat tt simple et nous sommes bien content de nous coucher avec qq chose ds le ventre pr les 4h qui nous reste a dormir !

     

    Les chambres sont simples (la notre est un placard tres propre et plein de charme, Marie et Prout prennent la standard avec meme de l’eau chaude...).

     

     

     

    Le lendemain, enfin 4h apres, on est pres a partir pour les soit disant 1h de jeep, qui se solde a 15min. On arrive au soit disant point de vue et la une horde de gars essaye d arreter la jeep pour nous vendre une balade a cheval, mais pour quoi faire sachant que nous sommes cense etre au point de vue. Et hop autre mensonge, nous avons 25 min de marche a faire dans la montagne. Prout, Marie et moi, montons, tout enerve de nous etre fait fait berne car Doudou ne peut definitivement pas le faire avec nous ! Le pauvre il sera reste plus de 3h a nous attendre !

     

    Nous recroisons nos compagnons de voyage de la veille qui se sont fait avoir aussi et ont automatiquement pense a Flo.

     

    Certes la vue est magnifique de la haut mais pas de chance encore une fois il y a pas mal de nuages meme si nous pouvons tout de meme apercevoir le fameux Mont Bromo qui crache des cendres entre 2 nuages.

     

    Le voyage en valait la peine... meme si nous sommes extrement decu qu’on nous ait vendu ce tour pour que Flo le fasse avec nous alors que nous aurions pu le faire par nos propres moyens si nous avions ete ts les 4 valides.

     

    Oui nous aurions pu rester plus longtemps dans cette region mais en meme temps nous y avons fait l’essentiel. C’est d’ailleurs drole de voir la ville deserte apres 10h du mat’ qd le tour du Sun Rise du Bromo est fini.

     

    Marie et Sylvain sont alles a pied au pied (excuse la repetition) du Bromo et voila sans plus etant donne qu’ils n’ont pas pu monter a son sommet...

     

     

     

    Bilan, cette excursion a ete encore une fois de plus gache par le mensonge des javanais !

     

     

     

     

     

    SURABAYA – 16h

     

     

     

    Nous sommes tous d’accord pour passer le moins de temps possible a Surabaya dont la reputation de grande ville ou il n y a rien a faire n’est plus a faire.

     

    Degoutes de nous etre fait avoir par les tours organises nous sommes decides a organiser notre voyage jusqu’a Surabaya par nous-meme.

     

    Il ne nous reste plus qu’a prendre un bemo local jusqu’a Probolingo puis un autre bus pour Surabaya. Ca devrait etre simple.

     

     

     

    On trouve par chance, croyons-nous, le bus local. Oui il est bien local sauf les prix (on se rendra compte qu’on nous a vendu les billets 5 fois plus cher), mais nous sommes heureux d’etre enfin avec les locaux et eux aussi d’ailleurs.

     

    Arrives a Probolingo, notre gentil chauffeur (croyons-nous toujours) nous arrete devant soit disant la local bus station. Mais c’est en fait devant un arret de bus prive, ils sont tous de meche !!!!

     

    Un homme nous « acceuille » pour nous expliquer qu’il y a le bus local et le prive et bien sur le prive est mieux et pas bcq plus cher, of course.

     

    Nous sommes tout de meme sur nos gardes car nous sentons le coup foireux. Marie a la presence d’esprit de ne pas lui filer l’argent tant que nous ne verrons pas ce bus prive.

     

    Elle a bien fait car oui il y a l’air d’avoir la clim ‘ mais il ressemble etrangement au bus locaux que j’ai vu auparavant !

     

    On ne veut pas de son ticket, il est furax et part.

     

    J’ai remarque que tous les bus partent d’un meme endroit, on y va et la bien sur ils voient des blancs et le bus s’arrete ! et la 6 mecs descendent du bus et nous « sautent » dessus, plus un autre qui s’arrete avec sa mobilette (au cas ou lui aussi pourrait avoir sa part du gateau ???), c’est une hallu, tout le monde parlent en meme temps, ca va dans tous les sens, on finit par se contredire entre nous, Sylvain a envie de tous leur dire d’aller se faire enc..., le prix passe de 60 000r a 20 000r. On monte dans le bus. Je demande le prix reel aux passagers mais personne ne veut me repondre sauf un qui nous dit que le vrai prix est de 14 000r. On nous garantit que le trajet est de 2h seulement (si plus ils nous remboursent les billets !), on mettra 5h... a cause d’un bouchon monstre, lisez bien l’excuse : la kermesse d’une ecole qui bouche la route ! Ils ne savent plus quoi inventer, c’est juste qu’a cette heure ici en bus local c’est l’enfer, c’est comme traverser la Canebiere a 17h en plein ete qvec un se,i)re,oraue. De plus, bus local oblige, pas de clim’ ni de ventil ‘, on sort de temps en temps pour essayer de respirer, meme les locaux craquent... Marie finit par faire un petit malaise :-(

     

     

     

    A la sortie du bus on est lessive mais on ne nous laisse aucun repis « taksi ??? room ?? »

     

    On a dormi 3h la veille, on vient de faire une journee de transport, on aspire a une seule chose grimper dans un taxi et aller vers l’aeroport pour se trouver un bon hotel.

     

    Et la encore je ne sais pas comment, on se fait embarquer dans autre chose. Marie et Sylvain vont avec une locale (c’est pas parce que c’est une fille qu’il faut avoir confiance !) pour trouver un hebergement autour de la gare et aller a l’aeroport demain.

     

    Autour de cette gare il n’y a que des bouges hors de prix et degueulasses !

     

    On decide de faire comme on avait dit initialement, aller a l’aeroport et voir si on tombe sur un hotel.

     

    La petite locale nous dit d’etre prudent, elle negocie meme le prix du taxi pour nous. Je me demande quel est son interet ?

     

    Sur la route, il n’y a que des hotels hauts de gammes. A dieu l’hotel confortable, on prefere dormir a l’aeroport...

     

     

     

    Arrives a l’aeroport qui c’est qu’on recroise ? : notre petite locale, notre « ange gardien », elle a fait la route avec sa petite mobilette pour etre sur qu’on etait bien arrive ! Alors la, on en reste bouche bee avec les copains. Elle est trop adorable. Je m’en veut terriblement d’avoir doute de son aide. C’est triste car on finit par etre suspicieux des gens gentils...

     

     

     

    On se trouve un pseudo Mc Do local, Michel (petite precision, on l’appelle comme ca aussi, Prout, Sylvain, le cousin...) nous achete une bonne biere bien fraiche qui fait du bien, d’autant plus qu’on n’y croyait pas vraiement dans un aeroport et qui plus est dans un pays musulman.

     

    On nous dit qu’on peut dormir au 1er etage. On est heureux !! Enfin on dechante vite car on n’est pas les seuls. C’est pas que nous soyons nombreux dans ce grand espace c’est que ces gens ont decide de parler, de manger, d’ecouter de la musique, de repondre au telephone dans l’espace reserve pour dormir ! Ils ont tout l’aeroport pour le faire mais non ils viennent la !!!

     

    On est au bord de la crise de nerfs !

     

    On a dormi sur le carrelage comme des peu-chers avec ces sans-genes. On est definitivement content de partir de Java, allez vite qu’on decolle pour Lombok....

     

     

     

    Bilan des courses pour Java :

     

    Marie : c’est pas l’Indonesie qu’elle imaginait.

     

    Sylvain : c’est un vrai depaysement mais il y a trop de monde, trop de pression.

     

    Flo : Ca ressemble trop a l’Inde

     

    Alex : on n’a pas reussi a apprecier le pays et les belles choses qu’il offre a cause de certaines personnes qui nous prennent pour des portefeuilles sur pattes.

     


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    Australie

    Lombok est repute pour etre comme Bali il y a qq annee, avant le « tourisme » avec un « T ». Il y a moins de « choses » a visiter mais les plages sont plus belle. L’ile est restee pauvre mais ils comptent sur le tourisme pour s’enrichir ». Rappelons aussi que cette ile est musulmane.

     


     

    GILI AIR – 4 J

     

     

     

    On arrive a l’aeroport nous sommes prets a refouler les assagnants de Lombok ;-) Notre objectif, aller directement sur l’ile paradisique de Gili Air (Il y a 3 iles au Nord ouest de Lombok, la plus proche est Air, tout aussi verdoyante que celle de Meno mais moins bruyante que Trawangan), pour se reposer de la semaine passee a Java, les vacances c’est fait pour ca normalement.

     

    Et bien tres agreable surprise, personne (enfin 2 personnes) pour nous harceler. Pas de pression, quel bonheur.

     

    Un gentil taxi qui n’essaye pas de nous arnaquer, nous dit meme de se mefier quand nous arriverons a l’embarcadere de Bangsal.

     

    La route est sauvage et jolie, ils roulent tous comme des bargeots... C’est tres vallonne, c’est la jungle avec des singes partout a un moment donne qui attendent les « poubelles » des touristes

     

    La tension javannaise est tombee on est tout relax.

     

     

     

    Malheureusement ca ne va pas durer ;-( Juste avant le « port » (20 bateaux de pecheurs sur la plage), ils obligent les voitures a se garer pour 25 000r ou sinon a prendre l’une de leur cariole a cheval pour le meme prix pour faire 200m a pied. Tout est fait pour que les touristes crachent un max !

     

    A Bangsal se sont de vrais malades, ils te sautent tous dessus pour que tu prennes leur barque privee car il n’y a plus de barque locale, qu’ils te vendent 3 fois le prix, prise d’otage, tu n’as pas le choix si tu veux aller sur l’ile dans l’apres-midi.

     

    Mais c’est sans compter sur Prout le Negociateur, qui a trouver un barque privee speciale pour les locaux (en fait c’est la navette locale mais ils s’en servent a titre prive dans la journee), juste un peu plus chere que la locale ! Trop fort ce Michel....

     

     

     

    Reste encore a negocier la petite charette : cidomo pour aller a la Guesthouse car il n’y a pas de route, pas de vehicule motorise, et ca va faire trop loin pour Flo d’y aller a pied. Flo part avec nos bagages nous negocier un bon prix pour nos 2 bungalows a 50m de la plage J 

     

    A partir de ce moment la on souffle, on est completement coupe du monde, on va prendre le temps de profiter chacun a son rythme de l’ile.

     

    Les 2 plongeurs profitent de l’aquarium geant qui s’offre a eux. Sylvain nous dit que c’est l’une de ses plus belles plongees, tu m’etonnes ! Rien qu’en snorkeling, je me suis regalee, tu restes facilement plus d’une heure a regarder ce paradis aquatique dans une eau a plus de 27C. Par contre, certains endroits gardent les stigmates de la peche a la dynamite qui a ravage les fonds. Mais cette methode est soit-disant terminee.

     

    On s’est egalement fait le tour de l’ile a pied mis a part Flo, tu peux le faire facilement en 1h30 en te permettant meme de faire quelques baignades sur des superbes plages encore desertiques...

     

    On est alle 2 apres-midi avec Flo profiter d’internet et de la piscine (eau de mer) d’un hotel de « luxe ». Flo a donc pu « gouter » a l’eau. Ca lui a trop fait du bien...

     

    A cette occasion, pour l’anecdote j’ai eu une petite discussion footballistique avec un indonesien sur...l’OM ! Si j’avais su, j’avais garde un auto-collant de l’OM au cas ou je rencontrerai un fan digne de ce nom et comme ca n’etait pas le cas dps 8 mois, j’en avais marre de me le trimballer, je l’ai mis a la poubelle 1 semaine auparavant, mince alors.

     

     

     

    On se sentait tellement bien sur cette ile loin de la cohue qu’on y est reste 1j de plus car on voulait etre fin pret a affronter les charognes de Bangsal.

     

    En plus en se renseignant dans les agences et en comparant avec nos livres, je suis tombee sur une agence qui proposait des treks pour le Rinjani vraiment pas cher. Alors on a decide de se faire prendre en charge encore une fois plutot que de se prendre la tete avec les transports locaux.

     

     

     

    En plus pour notre dernier soir on a mange avec les copains Gen et Jeff (les canadiens rencontres a Kho Pha Ngan pendant les inondations), c’etait drolement sympa de passer la soiree tous les 6.

     

     

     

     

     

    MONT RINJANI – 4J – MARIE ET SYLVAIN

     

     

     

    Le deal avec l’agence de voyage, c’est que Flo et moi faisions le voyage « gratuitement » (sauf navette bateau) mais qu’une fois sur place les couples allaient se separer :

     

    On a passe la fin d’apres-midi a Senaru, Marie et Prout sont alles visiter une cascade. Nous sommes restes a la guesthouse. Pour partir chacun de notre cote le lendemain matin.

     

    Ce qu’il faut vous preciser c’est que le tour organise des loustiques etaient 2 fois moins cher que les autres et ce, avec le meme organisateur, alors on s’est longtemps demande pourquoi ? ou etait l’arnaque ???

     

    Arrives a Senaru sans embuche on etait deja content. Les organisateurs ont quand meme insiste lourdement pour qu’ils partent pour l’excursion le jour meme, mais les jeunes avaient besoin d’une bonne nuit de sommeil avant ce trek repute diffcile. Ensuite, ils leur ont dit qu’ils feraient le parcours dans le sens inverse prevu. Ils ont du insister comme des fous pour leur dire que ce n’est pas ca qui etait prevu (dans le sens inverse c’est encore plus dur).

     

    Apres s’etre bien mis d’accord sur le parcours ect.. et que Marie est insiste avec un «look me in the eyes » comme promesse, le chef leur a demande de ne pas empecher les autres du groupe de donner des pourboires aux porteurs (ca n’etait pas du tt leur intention bien au contraire mais il a du ns prendre pour des radins alors ce qu’on voulait c’etait juste ce qu’on avait demande, on avait meme pas negocie le tarif pour une fois), surtout ne pas dire le prix qu’ils ont paye et que par contre ils auraient un matelas plus fin... pour justifier le prix.

     

     

     

    Le lendemain matin, on s’est finalement croise car le groupe de filles avec qui ils partent sont un peu lente a la preparation (et comme elles payent plus chers c’est elles qui commandent, ahaha).

     

    On a encore passe une mauvaise nuit mais pas a cause de l’appel a la priere cette fois-ci mais d’un enorme gueko qui fait un drole de bruit (un peu comme celui du paon) et des chiens. Comme dirait notre ami Sylvain, il y a tjrs qq chose qui ns empeche de dormir !

     

     

     

    Bilan de leur trek : Ils sont revenus ravis meme si ca a ete tres dur ! Amis debutants s’abstenir.

     

    Marie n’arrive plus a lever les jambes. Elle aura encore 5 jours apres L  Prout aura fait une petite baisse de tension car parti sans manger le 2eme jour avant le lever du soleil.

     

    Ils ont tout de meme fini par lacher le reste du groupe car les filles etaient vraiment trop lentes...

     

    Ils sont montes a 3700m, ont dormis- ; 2 fois a 2007m.

     

    Ils ont ete impressionnes par les porteurs qui sont capables de marcher avec de lourdes charges, en tatannes et plus vite qu’eux afin de preparer la popotte. Ils ont fini par manger avec eux pendant que les autres filles mangeaient dans leur tente L 

     

    Ils ont d’ailleurs termine leur trek avec l’un de ces porteurs

     

     

     

     

     

    De SENARU a KUTA – 3 J – ALEX ET FLO

     

     

     

    Nous avons donc quitte nos amis a Senaru. Nous avions decide de louer un scooter pendant leur 3j de trek pour faire le tour du Mont Rijani. Je demande l’avis au chef des excursions qui nous deconseille de passer par le chemin que nous avions decide car trop difficile. Il n’en a donc pas fallu plus pour nous motiver encore plus pour le prendre !!!

     

    En fait on pense qu’il avait peur pour son scoot car ca n’etait pas si dificile que ca et n’oublie pas mon mec est un pilote ;-)

     

    C’est tellement facile qu’on arrive a midi a l’etape que nous nous etions fixe pour la nuit : Sapit (en passant par les Sembalun !), tout en prenant le temps de profiter de jolis points de vues.

     

    On decide de pousser plus loin vers la « route des artisants », en s’arretant manger a Pringgaseta, un village de tisserand ou j’achete un tissu trop cher pour le pays mais la dame est tellement gentille et puis tant mieux ca a du lui faire le chiffre d’affaire du mois. Ensuite on s’arrete au village des poteries Penakar, la aussi j’achete un vase, faut faire travailler les commercants du coin. Ensuite celui de Tetebatu, le village des vanneries (non je n’ai rien achete car pas facile a ramener), pour faire une pause cafe car on s’est pris une averse pdt 30min. Heureusement on etait equipe mais ici qd ca pleut ca ne rigole pas, on a ete oblige de se mettre a l’abri sous le regard des locaux qu’on a bien fait rire.

     

    A cette pause on voit le chemin parcouru et je suis irresistiblement attiree par l’envie de tirer jusqu’a Kuta a l’extreme Sud de l’ile. Kuta et ses plages mythiques.

     

    Ca serait dommage de rater ca mais est-ce raisonnable car apres il faudra tout remonter...

     

    Allez c’est parti mon kiki...

     

    On arrive a la nuit tombee car on s’est trompee de route a un moment donne.

     

    Le soir on s’est trouve un warung ameliore, ambiance surfeurs australiens, ouais mais partout dans la ville, ca va nous mettre dans l’ambiance australienne.

     

    Le lendemain, on part a l’attaque des fameuses plages de Kuta. On ne nous a pas menti. C’est fabuleux, imaginez des monts tout vert et autour une plage deserte, de sable blanc, de couleur beue et turquoise = le reve, C’est exactement l’Indonesie que nous cherchions.

     

    On s’est balade de Selong Blanak, a Awang, via Mawun, Gerepuk et il semblait que ces plages faisaient un concours de la plage la plus desertique et la plus belle. On a de la chance c’est encore la basse saison. De plus depuis les attentats de Bali en 2002 et 2005, les touristes sont frileux de visiter l’Indonesie, la crise a aussi frene ce flux. Perso ca nous arrange, c’est plus tranquille mais ca ne va pas durer car en juillet va s’ouvrir l’aeroport international de Lombok.

     

    Nous en avons discute avec les locaux, les avis sont partages, ceux qui vivent du tourisme sont impatients bien sur, les autres voient cela d’un mauvais oeil. 50% des paysans ont succomber aux chants des sirenes du capitalisme et ont deja vendu leur terre.

     

    Il a bien fallu sortir de se reve eveille et entamer la route de retour avec beaucoup de regret.

     

    On est remonte vers l’Est de l’ile qui n’est pas du tout exploitee. C’est l’occasion pour nous de rencontrer enfin les autochtones. Ils sont adorables, tres aidants malgre notre probleme de langue.

     

    On se perd en faisant expres et des fois non... La nuit tombe et on va encore avoir un probleme d’hebergement dans cette region ou les etablissements ont ferme au fur et a mesure a cause du manque de client.

     

    On roule et on roule sans rien voir. On croise un couple de blancs (les seuls) qui croit avoir vu un hotel a qq km.

     

    Effectivement, il y a des cabanons. Le dernier touriste date de mars... nous n’avons pas de lumiere dans la salle de bain et le gamin de 13 ans, seule personne a parler anglais se devoue electricien suicidaire. Au bout d’une demi-heure apres avoir fotement insiste il nous donne une chambre « up-grate » moyennant un supplement... il reste des cheveux dans la douche... ;-(

     

    Le lendemain, c’est dimanche, personne ne bosse, les gens saffairent au bord de l’eau, des enfants vont faire du snorkeling, l’ambiance est familiale et decontractee.

     

    On repart, toujours vers le Nord, en essayant de longer la mer. On tombe sur 2 ceremonies de mariage sur la route. Les maries en debut de cortege, habilles de couleurs flashys et tout maquille, tires a 4 epingles, avec des ombrelles, suivie des convives dansant au rythme de l’orchestre fermant la marche. Cela creer un bouchon, peu importe c’est leur journee.

     

     

     

    Au retour sur Senaru, des gamins nous arretent pour leur donner qq billets car ils rebouchent des trous sur la route avec de la terre. Pas efficace pour un sous mais ils ont de la volonte ces petits.

     

    Ensuite, on s’arrete dans un warung pour manger. Les prix sont 2 fois moins chers qu’ailleurs. Les gens nous regardent avec des yeux, des ecolieres musulmanes, nous demandent de poser avec elles, elles se depechent d’enlever leur voile pour la photo (elles sont tellement plus belles sans).

     

    On s’est fait environ 400 km en 2jours et demi, mais quel depaysement fantastique, nous voila reconcilies avec les habitants de Lombok. On se dit qu’on a bien fait de bouger autant sinon on aurait loupe le vrai Lombok.

     

     

     

    On arrive a Senaru pour finir notre boucle, en meme temps que Sylvain et Marie.

     

    On decide de partir dans la foulee pour Senggigi pour voir s’il est possible d’avancer notre billet de bateau pour Bali, prevu pour le lendemain matin.

     

     

     

    SENGGIGI – 1J

     

     

     

    On arrive a Sengiggi, on prend peur, ca grouille de monde, surtout d’australiens. On veut aller au port pour arranger notre billet mais notre chauffeur ne sait pas ou est le port ??? Il s’arrete devant un bar pour demander. On nous saute dessus encore une fois. « Oui je connais le port et la compagnie, c’est ma compagnie », alors tiens ca tombe bien, il est ou le port de Sengiggi car c’est de la que nous partons ?! « ah non il n’y pas de port a Senggigi, le depart est dans une autre ville ». ????? C’est quoi ce bazar, « on nous aurait menti ? » (celui qui nous a vendu les billets).

     

    On avait le numero du gars qui nous a vendu les billets et la on comprend mieux en insistant. Effectivement il n’y a pas de port a Senggigi, il est plus loin mais un shuttle viendra nous chercher demain pour aller a l’autre port.

     

    Sur le guide du routard on nous parle de Mangsit, ville toute proche et plus tranquille. Mais beaucoup plus chere... a l’heure ou nous arrivons il ne reste qu’un super hotel (dans les prix ont double par rapport au Routard). On decide d’y rester sachant que notre chauffeur ne veut plus bouger car le prestataire ne lui a pas donne assez d’argent pour l’essence...

     

    Les paysans de Mangsit ont vendu leur terre a de beaux complexes hotelliers, super chics ou meme certains interdisent leur piscine aux enfants de moins de 12 ans !

     

    On s’est bagne sur cette jolie plage mais perso j’ai culpabilise. Cette plage « privatisee » pour riches, toi t’es en maillot et plus loin les locaux nagent tout habille. Et puis des que tu sors de ton « enclos » on veut te vendre un truc...

     

     

     

    Pour feter nos retrouvailles, on retourne Marie et moi a Senggigi, pour trouver une superette pour acheter un gros apero et notre repas de « pauvres » car tout est hors de notre budget ici.

     

    On est retourne a Senggigi en stop, on a attendu 5min, le gars nous a demande si on parlait Indonesien, je lui ai dit oui, on s’est pas mal debrouille, on a reussi a lui place tous les mots qu’on connaissait ;-)

     

    Et pour le retour, j’ai reconnu en ville le russe qui etait a hotel avec nous, du coup je lui ai demande si on pouvait partager son taxi pour le retour. Non seulement il n’a pas voulu qu’on lui paye le taxi mais en plus il nous offert des barres de chocolat (qui coutaient le meme prix que le taxi). On l’a invite a nous rejoindre pour l’apero, il a decline car il ne boit pas d’alcool et mange des racines !

     

     

     

    On a un peu profiter de la chambre au lit a baldaquin, de sa douche a jet d’eau, de sa grande terrasse mais pas assez car le lendemain matin notre chauffeur nous attendait...

     

     

     

    Il nous amene au fameux port qui encore une fois n’en est pas un au sens occidental du terme. Il faut attendre encore une heure car ils ne savent pas vraiment quand le bateau arrive de Bali mais nous sommes rassures car il y a d’autres touristes.

     

     

     

    On fait la traversee pour Bali en speed boat en 1h30 avec des pin-up qui se font bronzer sur le toit pour la plus grande joie de Flo !

     

     

     

    Bilan de Lombok :

     

    On est tous d’accord pour dire que certains (ceux lies au tourisme) ont tendance a gacher certains moments et endroits malheureusement...

     

    Et l’appel a la priere vers 4h30 du mat c’est sacrement dur !

     

    Prout : a envie de revenir malgre les « peaux de col et les croqueurs de cerveau»

     

    Marie : elle a oublie les desagrements du voyage grace au monde sous-marin (1ere plongee avec autant de poissons), et a sa premiere ascension d’un volcan.

     

    Flo : tout etait bien mais bon est sacrement frustre car n’a pas pu faire grand chose

     

    Alex : Genial grace au Sud et a l’Est de l’ile en scooter.

     


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  •  Australie 

     

     

     

     

    On a donc traverse en “speed-boat”de Bangsal LOMBOK a Padangbai BALI en 1h30.

    Ensuite grace a une belle negociation de Marie, nous avons pris un mini-van navette 2 fois moins cher pour aller a Ubud qui se situe dans le centre de l’ile.

    C’est drole, ces 2 iles sont toutes proches mais elles ne se ressemble pas du tout (a part les gens et les paysages). Ici la religion dominante est l’hindouisme balinais, plus modere et surtout plus « folklorique » que l’indien. Il y a des temples partout, on n’en a jamais vu autant. Il sont superbement decores, pas tres colores mais sculptes finement, parfois dores. C’est pas complique chaque maison a son temple !

     

    La region d’Ubud est en plus, la region de l’artisanat traditionnel : sculpture en bois (assez kitsch), tissu batik colores, vannerie, argent...

    La ville est noire de monde (de touristes), il y a des vehicules dans tous les sens. On n’avait pas du tout imagine la ville comme ca. En fait c’est parce que nous sommes arrives par l’artere principale car a 2 pas de cette voie, c’est tout calme !

    On se trouve une petite guesthouse que Gen et Jeff nous avaient conseille, qui en plus fait la location de scooter.

    Des le lendemain nous voila en selle, parti a l’assaut de Bali. On se donne 3 ou 4 jours pour faire le Nord et l’Est de l’ile en fonction des routes et des endroits qui nous plairont.

     

    Le NORD EST – 1J :

     

    On a traverse de jolis petits villages autour d’Ubud. On a de la chance car il y a une fete : la ceremonie de la pleine lune. En fait il faut savoir que tout est pretexte a faire une fete a Bali!  

    C’est comme sur la photo de la couverture du guide du routard : des rizieres et des femmes en habit traditionnel, portent sur leur tete une « piece montee » d’offrande = bananes, pommes, fleur et meme un canard ! Les femmes posent meme pour qu’on les prennent en photo, elles sont belles !

     

    On passe a Tampaksiring pour aller a Tirta Empul, source d’eau sacree entouree de temples. Nous avons la chance de le visiter un jour de ceremonie, c’est grandiose, ca restera pour moi un des moments forts du voyage. Tout le monde est endimanche : double sarong, ceinture pr les hommes avec une belle coiffe, les femmes avec un haut en dentelle transparent, assez sexy meme (rappelons que les 1ers colons ont decouvert l’ile, les habitantes etaient seins nus). Le site est en effervesence, ca grouille de monde, ca se presse pour acceder a la source « piscine » pour s’y tremper, petits et grands tout le monde doit y passer. Il y a des offrandes dans le moindre recoin, ca prie, ca se baigne, discute tout ca dans une ambiance bon enfant...

     

    On continue de rouler toujours en direction du Mont Batur et de son lac. On s’arrete acheter des fruits sur un petit etalage au bord de laroute. C’est beau et appetissant tous ces fruits exotiques, on doit en connaitre 3 sur 10 ! On en achete 2 de chaques pour gouter. Et la on croit entendre 60 000r pour 1,5kg. Je me dis qu’on n’a pas bien compris et que ca doit etre 16 000r, la vendeuse me dit non, Marie fait vite le calcul et dis que ca doit faire 5 euros et si on compare avec la France ca doit etre ca. On trouve ca cher qd meme... On dit le prix a nos gars et la ils se moquent de nous pensant qu’on s’est fait avoir mais de ttes facons il est trop tard on a donne l’argent... Passons, ca ne sera pas la derniere fois !

     

    Arrives a la 1ere ville du Mont Batur, il faut payer un droit de « passage »... On sent que l’endroit est touristique car on se re-fait « sauter dessus » : « a neck lace (collier) ? a guide ? a fruit ? » tient ca tombe bien pr les fruits, «  combien vous les vendez ? » : 20 000r /kg, noooonnn, bon 15 000r, allez parce que c’est toi 10 000r. Oh la loose, je suis trop verte de mettre laisser borner par l’autre vendeuse au bout de 8 mois de voyage...

     

    Quoi qu’il en soit la vue d’en haut d’une face du mont sur le lac est superbe. On pense descendre la route pour aller manger au bord du lac. Sur la descente, on s’arrete prendre des photos, et la un gars qui ns suivait en moto s’arrete en meme tps que nous pour nous venter son hebergement. Ils nous poursuivent ....

    On continue notre chemin, au milieu de la route,un panneau indiquent que la route est interdite, qu’il faut prendre a gauche. En fait c’est pour nous obliger a aller sur leur parking (payant) et s’arreter sur leurs stands de bouffe, comprennant leur stratageme, on reprend la route. On s’arrete a un stop pr decider ou est ce qu’on veut manger et la un autre gars en scooter s’arrete a notre hauteur pour nous « vendre » son restau !! Mais ils ne s arrete donc jamais ??? Et la, la mere Roze pete un cable, un enorme coup de calgon, une crise d’hystherie a la Glenn Close dans Liaison Fatale. Je me mets a crier. Flo du coup me gueule dessus que ca va pas ! Et la je descends du scoot et me mets a marcher en disant que je veux qu’on me laisse tranquille, que j’en ai ras le cul d’etre harceler ! Des gars en camionette, voyant une fille seule, s’arrete bien entendu pour me proposer qq chose, je leur reponds « f... you » (la grande classe, quoi). Je suis dans un trou noir, je marche, je ne sais pas vers ou, je veux rentrer en France ou je n’aurai personne en train de me vendre un truc, ou on essayera pas de me vendre 3 fois le prix du marche, je veux dormir une nuit entiere d’une traite sans interruption !

    Flo me retrouve au bord du chemin en train de chouiner, maintenant en plus je culpabilise d’avoir pete un plomd devant eux ! Je me sens comme une merde, comment ai-je pu m’enerver comme ca ? certes les locaux nous epuisent (pas tous fort heureusement) et le pire c’est que je les comprends tout a fait, ils veulent des sous et nous on en a... Le manque de sommeil dps 1 mois ne doit rien arranger mais bon quand meme. Pourquoi maintenant ? l’Inde etait 5 fois pire ! Je n’explique toujours pas cette folie passagere (apres 3 semaines). Resultat j’ai super honte mais par contre, je me sens mieux, je suis flagada mais zen ;-)

     

    On mange tranquillou et on reprend la route. On demande notre chemin car rien n’est indique. Celui que l’on veut prendre est plus court mais un guide (enfin un homme au bord de la route qui ns dit qu’il est guide et qui veut qu’on le suive, moyennant finance bien sur), nous le deconseille car perso il ne le prendrait pas, trop difficile a scooter !

    Tu parles encore une fois, c’est ce qui motive les gars ;-)

    Et franchement sans regret, car la route est certes difficile a certains endroits : etroite et cabossee mais tres jolie et authentique.

     

    Ensuite de Tedjakula a Amed, la route du Nord, la route est bonne mais il n’y a pas de paysage car il y a des habitations de chaque cote ou des arbres, on ne voit donc pas la mer. On s’est faufile sur un chemin pour essayer d’aller la voir et la encore des stations d’eau de mer (on ns a dit que c’etait pour faire des reserves d’eau de mer ????). Et un miniscule passage pour la plage au sable noir, apparememnt ce cote-ci n’interesse personne. Tu me diras toutes les plages du reste de l’ile sont tellement belles...

     

    AMHED : 1J – 2N

    On a fini par arriver a Amed de nuit. On s’attendait a une ville pleine de touristes et bruyante, pas du tout. La ville est petite, et comme la saison n’a pas encore commence c’est tranquille... Les hebergements sont plutot « luxueux » pour nous. On finit qd meme par trouver un endroit dans notre budget (en fait tu roules en scoot dans la nuit et tu entends ts les 100m « yes, room ? » et la ca ns arrangeait !). On est bien tombe : un restaurateur a des chambres, suivez-moi... Il faut prendre le scoot ? oui c’est pas loin... en fait c’est son frere qui vient d’ouvrir, il a 4 chambres. On se demande encore ds quoi on va se faire embarquer car le garsr nous emmene a droite puis a gauche. Au final on y restera 2 nuits car on a la plage a 20m !!! c’est trop genila, c’est calme, les proprios sont trop gentils. C’est la Mama Warung. Le Monsieur a appri l’anglais avec les clients et la il se met au francais ! Il a une sacree volonte le type, il apprend la langue sur la plage avec les touristes !

     

     

    Des le lendemain Marie et Sylvain partent faire la fameuse plongee de Tulamben. C’est un veritable aquarium autour de l’epave du Liberty, un bateau americain torpille par des japonais (qui occupaient l’Indonesie) en 1942 qui avait reussi a sechouer sur cette plage de galets noirs mais en 63, lors de l’eruption du Volcan Agung, la lave a repousse le bateau dans l’eau... Prout a meme caresser le menton d’un nemo dans une anemone, et il a meme nage au milieux d’ un banc de thon !

    Meme moi en snorkeling j’ai pu nager au dessus de cette epave (je me trouvais dc a 4m au dessus du cul du bateau). Je n’avais jamais vu ca de ma vie car d’habitude j’arrive a voir le fond et donc ca me rassure mais la de voir tous ces poissons autour de moi mais de ne pas voir le fond, notamment le banc de thon, ca a finit par me foutre la trouille.... Mais qu’est ce que c’etait beau !

    Pendant ce temps, Flo attendait au bord avec son platre et un livre, peuchere...

     

    Dans l’apres-midi on a reprit nos montures pour ce faire une belle boucle a travers les magnifiques rizieres de la region d’Amed, qui etaient comme dans le film Toute la beaute du monde avec Marc Lavoine (speciale dedicasse a ma Cricri d’Amour). Puis on a longe la cote pour traverser des petits villages a flan de montagne : splendide ! ou certains gosses, nous disaient « money ou morning » on ne sait pas tres bien et on n’a pas plus insiste non plus pour savoir de peur d ‘etre decus.

     

    Sur le retour on s’est arrete a l’epave japonnaise pour faire du snorkeling mais des locaux nous ont dit de faire attention aux courants car la maree etait basse et comme la nuit tombait je ne me suis pas sentie en me disant qu’on ne verrait rien. Mal m’en a pris car Marie et Sylvain l’ont faite et on vu des coraux impressionnants : les plus jolis  ;-(

     

     

    AHMED – BESAKIH – UBUD : 1J :

    Apres une nuit ryhtmee aux chants des coqs qui ont une fois de plus cruent que c’etait le matin toutes les 3h (faute a la pleine lune), on est reparti vers le Mont Agung pour visiter le temple sde Besakhi.

    Encore une fois, la route est superbe, jungle et rizieres, rivieres ou les gens font leur lessive et se lavent...

    Par contre, le temple de Besakhi, on l’a rebaptise le « temple des jambons » car c’est vraiment pour des jambons qu’on y prend les touristes ! Le temple est le plus grand et le plus venere de Bali, soit mais c’est ici que nous avons pu avoir a faire a la plus grosse concentration d’arnaque. A 500m de l’entree du site, on nous demande de payer un passage pour nous et les scooters et aussi le parking... Flo ca l’agace et de principe ne veut plus y aller. Nous voila parti a pied vers le temple, ou on voit bien le parking. A l’entree, on nous redemande de payer, heureusement qu’on a garde nos tickets. On nous dit que le sarong est obligatoire, alors il faut en louer un. Mais les petits malins que nous sommes, avons le notre (et d’ailleurs il n’est pas obligatoire !). On nous dit aussi que le guide est obligatoire car il y a une ceremonie !!! Je leur dis que je n’en veux pas quand meme et je n’attends pas sa reponse ! On lit le guide du routard pour voir par ou commencer et la je fais un copier exact du guide car ca explique tout ce qui nous ait arrive: « aujourd’hui il est impossible de se balader librement dans le temple, des que l’ont sort du parking, des pseudo « gardiens du temple », aussi penibles qu’insistants vs expliquent qu’a cause de la ceremonie speciale qui a lieu aujourd’hui (comme par hasard !), ils doivent imperativement vous guider... ce qui ne sert a rien car les touristes ne peuvent pas entrer dans l’enceinte... ils demandent parfois des sommes hallucinantes et sont particulierement insistants, Les agences de voyages ont renonce a conduire leurs clients ici, car a part les immenses parkings et les multiples echoppes des marchands, vous ne pourrez qu’etre frustres... »

     

    Mensonges et re-mensonges + payer pour quasi ne rien voir + magasins de touristes = frustation au temple du jambon !!!

     

    On continuera notre chemin a travers des petits villages. On fera une pause-dejeuner au bord de la route pour manger les « boulettes de Michel », qu’il avait repere dans une autre cariole qq jours auparavant. Je ne sais pas si c’est parce que les boulettes etaient truffes de petits os ou parce que Michel nous a parle d’un mec qui transportait un chien mort comme si c’etait un poulet, mais je n’ai pas ete capable de finr ce met. Je dois devenir difficile ;-)

     

    Sinon sur la route nous avons croise (mais c’est partout a Bali) des coqs suicidaires, c’est a dire qu’ils traversent la route sans arret, sans regarder a gauche ni a droite, donc certains passent sous les roues de camions...

     

    Autre anecdocte : Sylvain a vu une Maman apprendre a son petit a dire « dollar »... On avait sans doute bien compris l’autre jour le mot « money » !  

     

    Sinon ce qui nous a marque c’est qu’a n’importe quel moment de la journee, il y a des ecoliers en uniforme le long des routes ! Tu te demandes s’ils vont en classe ou s’ils passent leur temps dehors. Je rigole bien entendu... On est tombe d’ailleurs le dernier jour d’ecole pour certaines ecoles et les eleves peignent et bariolent leur uniforme et roulent avec leur mobylette en klaxonnant. Tres bonne ambiance de fete tout ca.

     

    Retour a Ubud, petit coucou a Gen et Jeff (les canadiens) que nous re-croisons a notre guest-house avec plaisir mais trop rapidement car eux doivent preparer leur depart pour le Japon.

    Quant a nous nous bookons un taxi tous les 4 pour Jimbaran...

     

    JIMBARAN – 4J

    On a decide de rester a Jimbaran car l’atmosphere y est plus cool qu’a Kuta et la plage est jolie. De plus l’aeroport n’est qu’a quelques kilometres, comme ca les loustiques n’auront qu’un taxi a prendre pour partir. Car oui leurs vacances se finissent le lendemain.

    On ne traine pas pour cette derniere journee tous ensemble, on veut en profiter jusqu’au bout. On se trouve un super hotel (mais pas cher ;-) et on loue des scooters pour essayer de se faire le tour de la peninsule de Bukit (Extreme Sud de Bali, au sud de Denpasar).

    On trouvait que ca roulait vite a Ubud et bien la c’est pire ! On essaye d’aller vers l’Est pour sortir de ce grand axe et en fait il y a partout des plages plus belles les unes que les autres en contre-bas de hautes falaises. Il faut s’acquitter d’un droit de parking et en avant Guingamp. Sauf qu’a la 1ere ou nous nous arretons on voit un long escalier, on se dit qu’il vaut mieux trouver une plage plus accessible pour Flo mais voila qui dit hautes falaises dit acces limite. Apres avoir paye un 1er parking on se rend compte que l’acces a cette plage-ci est encore plus difficile et sera epuisant pour notre Flo, on est donc repartis a la 1ere plage de Padang-Padang, les escaliers nous ont sembles plus facile tout d’un coup.

    On ne nous avait pas menti : on nous avait prevenu que les plages du Sud etaient belles et pleine  d’Australiens et c’est le cas, que des Ken tatoues et des Barbies bien golees ;-0

    Avec les amis on veut s’initier au surf mais malheureusement les vagues sont loins et un peu trop dangereuses... Dommage...

     

    Pour notre derniere soiree ensemble et pour leur dernier jour de vacances, Sylvain reve d’un bon poisson au bord de plage. Allons-y, la plage de Jimbaran est reputee pour ses restaurants de poisson. Apres un dernier plouf piscine (sauf pour Flo...) (et oui c’est la 1ere fois qu’on s’est pris un hotel avec piscine !!!) et un apero light, on se retrouve devant ces fameux restos. En fait tout le long de la plage il y a ces memes restos, avec la meme deco et qui font diners-spectacles. Ca n’est pas trop a notre gout, ils sont trop rabatteurs et ca coute quasiment aussi cher qu’en France !!! On est decu... Mais on n’abandonne pas et en retourant vers notre hotel dans le « quartier pauvre », on s’en trouve un sans la taxe de luxe !!! On est bien en train de deguster du poisson et des clams au bord de l’eau, les pieds dans le sable.... Ah ca c’est les vacances, enfin la fin !

     

    Le lendemain nos amis nous quittent pour l’aeroport, on est tout triste, meme cafardeux... C’etait des supers compagnons de voyage. Car il n’est pas evident de partir avec des copains en voyage, il faut avoir un peu les memes envies et le meme rythme. Il y a je trouve une difference entre partir en vacances et en voyage. Comme ils nous disent : ils repartent fatigues mais reposes. C’est vrai qu’on a bien bouge pendant ces 3 semaines ! Et on s’est deja donne RDV au Canada. Enfin, c’est ce qu’ils nous ont dit ! ahha !

     

    Maintenant il faut qu’on prepare nous aussi notre depart d’Asie. Pour commencer Flo doit faire des radios de controle. Il va y passer l’apres-midi tout ca pour s’entendre dire par le radiologue (qui avait un verre de lunette casse) qu’il ne savait pas trop quoi lui dire pour sa fracture et qu’il n’ y avait aucune contre-indication a ce qu’il prenne l’avion avec un platre !!! Enfin, tout ca pour rien!

     

    Le soir on s’est donne RDV avec nos copains les Sudistes (rencontres en Thailande et en Malaisie). Nous retrouvons donc Ted, Jeremy et Brian a Canggu dans le Nord de Kuta. On boit qq bieres, ils nous font gouter les brochettes de poulets au satay de « leur » bicoque, tout en se racontant nos dernieres histoires de voyage... On fait aussi la connaissance d’un de leurs copains, Matt qui nous donnera de bons tuyaux pour l’Australie ! Merci encore les gars !

     

     

    L’avant derniere journee etait une journee Alex : on s’est octroye une derniere journee plage. On est alle a Kuta car je voulais absolument essayer de faire du surf car Bali est tout de meme le paradis des surfeurs. Ca a ete assez laborieux, je me suis caguee ! Les vagues etaient grosses (selon moi ;-) mais j’ai quand meme reussi a me mettre debout !!! Experience a essayer de renouveller en Australie...

     

    J’ai fini cet apres-midi la avec une seance shopping pour acheter les derniers souvenirs d’Asie pendant que Flo n’etait pas si malhureux car il finissait la trilogie des Millenium...

     

    Le soir en a fete cette bonne journee de feneant dans un warung au port des pecheurs, tres tres authentique.

     

    Le lendemain sous les conseils (acharnes) de la Maman de Flo et apres avoir eu son docteur a Marseille, il retourne dans un hopital (avec des vrais Medecins) afin de se faire prescrire un piqure de fraxiparine afin d’eviter de faire une phlebite ou une ambolie pulmonaire. Un medecin lui dit aussi qu’il faut decouper son platre (son 3eme) au cas ou... et du coup lui fait refaire des radios.

    Il a bien fait de faire tout ca car a l’embarquement pour Sydney , la compagnie lui a demande s’il avait un certifcat medical. Ben non, mais le platre est decoupe alors ca va...

    Je vous jure alors, qu’on avait qd meme pris 2 fois l’avion et on ne nous a rien dit, est-ce une introduction vers le pays des « blancs » ???

    En gros Bali c’est vraiment joli (mais moins sauvage que Lombok), ca devait l’etre encore plus il y a 10 ans avant l’arrivee des touristes australiens en masse. Il faut egalement louer un scoot pour etre independant et pour jouir de toute la beaute de cette ile.

    Par contre le plus indeniable par rapport a ses voisines c’est qu’on y dort mieux, il n’y a plus d’appel a la priere a 4h du matin meme si certains habitants nous ont dit qu’il y a de plus en plus de musulmans.

    Les gens sont vraiment adorables et ouverts, encore plus vers les endroits qui ne sont pas lies au tourisme.

    On conseil bien entendu cette ile et surtout en dehors des vacances scolaires indonesiennes et australiennes !


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    C’etait vraiment sympa et d’autant plus cool qu’on etait avec Sylvain et Marie ! Pour nous cela a ete un bon melange entre la Malaisie, l’Inde et la Thailande...

     

    Les paysages sont splendides et sauvages (surtout a Lombok). Les gens sont adorables (surtout a Bali et a Lombok dans les endroits perdus.). La culture incroyablement riche (surtout Bali).

     

    Par contre ne pas s’attendre a retrouver l’ambiance de Eat, Pray, Love avec Julia Roberts et Javier Barden car Bali n’est plus perdue et tranquille...

     

    Quant a Java nous vous la conseillerons pour un court sejour organise ;-)

     

     

     

    Il serait dur de faire une synthese de l’Indonesie sachant que nous n’avons visite que 3 iles sur les 17 508 qui la composent (dont 6000 non habitees). Il y a plus de 500 ethnies... Mais le peu que nous aillons visite nous a donne envie d’en visiter d’autres mais moins touristiques comme les Moluques, la Papouaisie ou Borneo...

     

     

     

    Possibilite d’y habiter :

     

    Flo : 3/10 ou 7/10 si l’aeroport international de Kuta Lombok n’ouvre pas (et si il n’a plus de platre histoire de profiter de la plongee)

     

    Alex : 6/10 a condition d’avoir un bon boulot pour pouvoir en profiter un peu mais j’aurai peur de m’y ennuyer au bout d’un moment


    Prix de la Pinte : de 0,87 à 2 voir 3 euros ou plus comme l'Inde, ça dépend si on te prend pour un jambon!

     


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